trip littéraire

Fruit adolescentesque.

Mercredi 08 février 2006

Ecrire pour écrire

J'écris très certainement beaucoup, et spécialement dans ces soirées froides où la chaleur de mon pc réchauffe mes doigts fatigués.
Bref, toute cette écriture n'est sûrement que le fruit d'un trip, où d'un âge, et donc beaucoup n'est pas publié, peut-être 3%. Le reste se cache docilement dans un coin, à attendre d'être bruler. Pour tout dire je n'ai pas la volonté artistocrate ou individualiste, j'aime simplement exposer certaines de mes idées au biais de mots qui m'ont paru, à un instant ou autre, amusant, frappant. Alors pour mon égotisme post-moderne, je laisse cette trace:

Et si tu te faisais saigner les veines à coups de lame ?
Juste pour voir la couleur d'une larme.
Pour sentir le goût amer d'une marre de sang.
Et regarder coaguler ton venin de vie,
Hanté de drogues et d'alcool, de vide et d'ennuie,
Souille de cris et de haine.
Et si tu recommencais comme avant ?
Quant tu hurlais toutes tes peines,
Au fond d'un puit, au dessus d'un nuage,
Au sommet d'un immeuble, vidé !
Vidé de toute ta rage,
Assoifée d'un autre monde,
D'autres fées,
D'autres idées,
Davantages d'espoir.
Moi j'y crois et toi tu l'vois ?
Par chevre - 9 commentaire(s)le 08 février 2006
Lundi 30 janvier 2006

Du cru !!!!

Viens que j'técartelle ma p'tite pucelle,
A deux ou à trois c'est la même histoire,
Simplement le coup d'un soir, puis aurevoir,
Faut pas croire; t'es pas plus belle qu'une étincelle.

Dans tes yeux je me suis apercu que t'avais bu,
Que tu étais ivre d'amour éternel,
J'voulais te baisé de mensonges d'hirondelle,
Avant que tu saches qu'tu m'plaisais plus.

J't'ai craché sur ta figure raturé,
J'tai défoncé avec mon jus d'amour,
J'ai fait de toi un objet oublié,
Un trou anale rempli pour toujours,
De mon sperme, de ma voix, de mes mots,
De tes rêves, de tes pleures, de tes maux.
Par chevre - 6 commentaire(s)le 30 janvier 2006
Jeudi 19 janvier 2006

Recyclage










Je crois qu'on est amoureux ensemble.











Point.
Par chevre - 1 commentaire(s)le 19 janvier 2006

Souvenirs de peines

J'lai relu, j'ai trouvé bon.


Retour à la case départ, l'impression d'un déjà vu, d'une nuit déjà vécue, insomniac j'allume ma clope, enfume ma chambre d'un parfum d'interdit, pour évacuer l'amour qui bouleverse mes peines, hante mes rêves, libère ma haine contre le monde, les autres, contre toi, contre moi, contre nous et ce donz j'aspirais, ce dont j'espèrais..
Regarde où ca me mène, la fatalité de l'aterissage, à fait de moi un homme ruiné d'amour propre, de fierté. J'ai envie de violence, saigner mes mains empoisonnées de ton odeur, cracher ma langue, qui auparavant parcourait le long de tes dents, et surtout, éteindre mes yeux, qui ton découvert, toi, plaisir de mes nuits, ange de mon lit. Devenir aveugle, et voir ton visage disparaitre, remplacé par l'idée, autrefois rêvé, d'une fille autre que toi, mieux que toi. Tu as soufflé la passion d'un coeur voué au bonheur, sans prévenir, par simple plaisir, tes lèvres ont prononcé, dans cette maison vide d'humanité, les doux mots du malheur apprivoisé depuis. Oui, j'ai appris à le connaître, ironie du sort, l'amitié du désespoir soulève, chaque jour, mes pas vers d'autre horizons, que j'abhore, comme une race à exterminer, comme un rival, vulgère insecte poisseux.
J'ai transformer ma plume en compagne de coeur, emprisonné elle même de la drogue que tu nous as administré, ennivré jusqu'à la moelle d'amour pour ta personne, le sang qui coule, vide ses tourments, mais ne suffit pas, il me faut percer l'abcès, transpirer chaque larmes d'espoir, pour enfin, découvrir l'illusion d'une mort innacessible, ouvert à l'inconnu. Le pus de ma rage crée la vision de haine, pour de faux frères, de faux frères.
Ejaculer le plaisir partagé autrefois, je vais souffrir l'unique amour tisser à l'instant, où mes doigts saignant d'amertume, pousse l'encre à s'étendre sur la blancheur innocente d'un futur apprivoisé de suicides improvisés. Pour nous, je glaire sur la pensée de toi seule, sans moi, car dans mon âme, tu n'existes plus sans moi, et si tu étais sencé m'aimer, je ne peux que réparer mon erreur, sauter dans l'abime cruel, mais réel, d'aimer à jamais, la fille qui, m'a repousé en m'aimant.
La clope dissipé, c'est l'heure d'en allumer encore, brûler ses poumons d'envies d'échapatoires, parce qu'à présent c'est fini, j'arrête de cacher ma peine, et délivre ma haine. je suis triste, triste à oublier qu'on peut aimer à nouveau.
Le bras tendu, on peut lire maintenant, l'étendars de mes pêchers, en premier sur la liste, t'avoir tout donner, sans rien retrouver.
Remise en question, non ! Perdu le temps des remords , abandonnés les secondes de regrets, il est temps de faire les comptes, payer l'addition de l'amour administré sans compter, règle la facture de ton sang souillé d'la bave d'autrui. Efface ton sourire qui auparavant m'a fait succombé, presse la gachette de la décheance et tombe, dans le gouffre idéal, du non retour, on va tous crever, mais toi avant moi, agonisant le coeur trahi, les veines noircis, la chatte rempli de toute la tendresse que je t'ai offert. Il est temps d'afficher ta tête d'enfant battu, visage défiguré de mensonges qui rongent, encore et encore, tes sentiments, l'effigie que j'avais de toi. les certitudes formées durant une année qui aurait du duré une éternité. On va s'entendre agoniser, dans un dernier élan d'amour, tu vas m'embrasser de ta pitié, va te faire foutre ! Saigne, comme moi, Saigne.
Marre d'entendre gémir le voisin, jaloux de souffrir en silence, alors que lui exibe son bonheur sans pudeur ni moral, ni Dieu ni maître, j'ouvre ma harge. Je suis triste, triste d'avoir cru qu'on pouvait être aimer en retour.
j'avais imaginer que c'était beau d'aimer, et je m'interdis de me contredire, car oui, je confirme aimer c'est bien, la nostalgie d'un retour en arrière, d'une image qui marque, de paroles qui restent, de gestes qui touchent, l'amour c'est revivre avec le temps les instants vécus, dans l'intimité la plus iréelle, où l'âme se lâche et ibère toute la passion créer uniquement pour cette occasion, aimer à en perdre la vie. Les sens détruient laisse place à la glace meutrière, d'une rencontre avec soi même, clope au bec, la troisième.
Deviner le sentiment qui nous plonge dans l'abime meutrière du cynisme, je n'aspire plus qu'au vide libèrateur de te voir agoniser de mots d'amour, sous mes gestes violents, pour but de faire saigner tes yeux de larmes de joies.
Triste, je m'endors, les poings renfermés sur la veine sectionné à la plume offerte pour ma majorité.
Par chevre - 3 commentaire(s)le 19 janvier 2006

Masturbation

Stimulation de ses propres organes génitaux qui provoque une montée de l'excitation sexuelle permettant à l'orgasme de se produire. Cette pratique se fait le plus souvent seul mais peut se faire également à deux : masturbation mutuelle. Elle permet la découverte de son corps et l'apprentissage de ses propres réactions sexuelles.

Si la masturbation n'est plus considérée comme un péché par la majorité des individus, elle reste cependant considérée par certains comme une pratique honteuse. On peut aussi formuler l'hypothèse que la masturbation constitue une sorte de jardin secret, où l'individu peut se livrer tout à fait librement à des fantasmes qu'il n'ose partager avec son ou sa partenaire. Parler de la masturbation serait ainsi évoquer le jardin secret qu'on ne souhaite pas partager. Dans ce cas, est-ce l'acte lui même qui est tabou ou les pensées et les fantasmes qui l'accompagnent ?



L'enquête réalisée en 1997 auprès des jeunes de 15 à 18 ans par Lagrange et Lhomond montre que 93 % des garçons et 45 % des filles de cette tranche d'âge se sont déjà masturbés. Au delà de l'écart statistique entre les deux sexes, cette enquête met en évidence une autre différence.
Pour les garçons, la pratique de la masturbation précède les premiers flirts et les premiers rapports sexuels, alors que les filles commenceraient à pratiquer la masturbation après avoir connu un premier flirt ou un premier rapport sexuel. Les garçons fonctionneraient aux fantasmes alors que pour les filles, ce sont les souvenirs des expériences réelles qui remplissent ce rôle.

Moi j'me masturbe et j'aime ca !
Par chevre - 6 commentaire(s)le 19 janvier 2006
Mercredi 21 décembre 2005

Prostitution

Tu y crois toi ?


Article que j'ai pas encore envie d'écrire, mais qui semble s'imaginer à lui seul, en attendant:


Regardage de haut en bas,
Imaginer; la jupe enlevée, les chaussettes retirées,
Jubiler, le regard à rêver, faut pas éjaculer.
Envie de toucher, stopper sa respiration,
Les sens qui envoutent l'imagination,
Baveuse et transpirante, mon coeur à l'agonie,
On oublie l'insomnie, remplacée par ces formes,
Les seins, les mains, les reins sont dans les normes.
Et l'illusion d'explorer ce corps, l'envie d'se faire jouir,
Pénétrer ces désirs, devenir son intimité
Et la faire souffrir:
De mots d'amour, sussurés jusqu'à l'épuisement d'idées.
Accroupie à la manière d'une chienne, on lui fait mal,
Ramonnée de chaques côtés sur cette pierre tombale,
Elle hurle des cris d'espoir, sans pouvoir distinguer
Plaisir et Malheur;
D'la haine.
Du sang.
Du sang.
Les larmes qui s'étallent,
Des pleurs,
Des cris.
Forts.
Une gifle,
Une capote.
Ca recommence,
D'la haine.
Du sang.
Du sang,
Et sa virginité laissé pour compte.
Par chevre - 2 commentaire(s)le 21 décembre 2005
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