Tu y crois toi ?
Article que j'ai pas encore envie d'écrire, mais qui semble s'imaginer à lui seul, en attendant:Regardage de haut en bas,
Imaginer; la jupe enlevée, les chaussettes retirées,
Jubiler, le regard à rêver, faut pas éjaculer.
Envie de toucher, stopper sa respiration,
Les sens qui envoutent l'imagination,
Baveuse et transpirante, mon coeur à l'agonie,
On oublie l'insomnie, remplacée par ces formes,
Les seins, les mains, les reins sont dans les normes.
Et l'illusion d'explorer ce corps, l'envie d'se faire jouir,
Pénétrer ces désirs, devenir son intimité
Et la faire souffrir:
De mots d'amour, sussurés jusqu'à l'épuisement d'idées.
Accroupie à la manière d'une chienne, on lui fait mal,
Ramonnée de chaques côtés sur cette pierre tombale,
Elle hurle des cris d'espoir, sans pouvoir distinguer
Plaisir et Malheur;
D'la haine.
Du sang.
Du sang.
Les larmes qui s'étallent,
Des pleurs,
Des cris.
Forts.
Une gifle,
Une capote.
Ca recommence,
D'la haine.
Du sang.
Du sang,
Et sa virginité laissé pour compte.
Par
chevre le mercredi 21 décembre 2005
Commentaires
Abruti !