A ceux qui - vierge - perdent le contrôle, chaque seconde. A ceux qui se sentent seul, esseulés chaque jour un peu plus par ses repères, son entourage et ses idéaux, par ses rêve et ses convictions, par ses mots.
Je prie,
A leur léthargie, l'essence de la vie et la drogue des incompris.
A leur insomnie,
Au royaume adolescentesque,
A leur religion, véhicule de la nuit.
A ceux qui, sans crier garde, se sentent mis à nu, à chaque allusion.
Je pleure.
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