Voir la vie en noir et blanc et l'imaginer autrement, rose ou verte peut-importe finalement, souvient toi, le beton est en fleur, la rue un guetto de combattants, et nous dans l'histoire on est pas tellement différent, jeune, borné et insouciant.
La vie en rose s'étale à travers un soleil levant, une aurore mourante, une lueur naissante.
C'est du plomb dans l'estomac, de la fumée dans les poumons et un manque au coeur, des rheins tendus, un corps crispés. Son visage terne ne reflète pas la cervelle malade qui l'habite, celle qui percoit le chant d'hirondelle, le son d'une voiture, le réveil matin ou le cri de sa soeur, dont le mélange s'apparente à cette mélodie d'amour, cette symphonie de vie, cette illusion de force permettant au gens d'avancer.
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